Lutte à la désinformation
Le rôle de nos biais cognitifs
Chiens ou chats ? Peu importe...
Biais de confirmation
Plus sur le biais de confirmation
Leurs créateurs savent que, sur les réseaux sociaux, on est davantage exposé à des informations qui nous plaisent.
L’effet de bulle et les algorithmes
Dans la vraie vie, comme sur les réseaux sociaux, on a tendance à s’entourer de gens qui pensent comme nous, avec pour résultat qu’on se retrouve dans une bulle informationnelle où tout le monde partage les mêmes informations…
Graduellement, on finit par ne plus être exposé qu’à une information uniforme sur certains sujets.
Grâce à nos données personnelles et à nos interactions avec les publications, les algorithmes des réseaux sociaux nous présentent du contenu qui correspond à nos goûts, nos intérêts et nos croyances, tout en excluant le reste.
C’est une façon de nous garder captifs de cet univers personnalisé et confortable… et de nous exposer à de la publicité ciblée.
Les autres raccourcis mentaux
Plusieurs autres de nos biais cognitifs participent à la propagation des fausses nouvelles et de la désinformation.
Parmi ces autres raccourcis mentaux, il y a notamment :
- Le biais de popularité
- Le biais émotionnel
- L’effet de halo
Le biais de popularité
Pour aller plus loin
L’effet de halo
Comment faire alors pour éviter d'emprunter des raccourcis mentaux?
Le Détecteur de rumeurs vous propose ces quelques pistes
1 – Il faut d’abord reconnaître que nous avons tous des biais cognitifs.
2 – Douter, douter, douter… même quand l’information semble en accord avec nos croyances.
3 – Consulter des médias dont on n’est pas nécessairement d’accord avec la ligne éditoriale.